Accessibilité : navette, arrêt village
Départ : quartier Les Biolles (départ sur neige)

Depuis l'arrêt du skibus à proximité de l'Eglise, prendre la rue principale du village sur 200 m, puis prendre à gauche la rue de la supérette (Sherpa) en direction des Biolles. Arrivé à la patte d'oie, prendre à gauche et continuer jusqu'au virage. Dans celui-ci prendre à droite en direction de la cabane du téléski des Biolles. Passer à côté du chalet et monter ensuite en direction du téléski de la Verdette. Passer à gauche du téléski et rentrer dans le bois du Faÿ pour faire la boucle. Retour sur les Biolles et le village par le même itinéraire que l' aller.

A SAVOIR :
Le télé-traîneau, engin à chenilles encore visible au pied de la piste du Reguet au centre-village, est la première remontée mécanique de la station. Datant de 1937, il pouvait transporter 20 personnes avec leurs skis jusqu'au sommet du Reguet en 20 minutes. Il fut remplacé en 1948 par une nouvelle remontée mécanique "le téléski". Le télé-traîneau est un modèle unique en France.

Depuis l'arrêt du ski bus, remonter la rue jusqu'aux dernières habitations, prendre à droite dans la forêt. Au carrefour "Le Golet", prendre à droite en direction du "Plan du Drayon". A ce carrefour, prendre à droite et descendre en direction du "Chemin de la Peignière" puis rejoindre la route aux hameaux du Planay et du Mond-Rond (1 km , 15 min). Possibilité ensuite, d'utiliser la navette skibus pour rentrer.

A SAVOIR :
Lorsque la Savoie devient française en 1860, une zone franche, exempte de taxes, est créée. La frontière de cette zone se situait au cœur du Val d'Arly. Les habitants organisent alors un vaste réseau de contrebande. Les contrebandiers, pour dérouter les douaniers, utilisaient certaines ruses comme inverser la semelle de leurs chaussures pour simuler le sens inverse de la marche ou utiliser des ficelles pour tirer discrètement la marchandise.

Depuis l'arrêt du skibus, remonter la rue jusqu'aux dernières habitations, prendre à droite dans la forêt. Au carrefour du Golet, prendre tout droit pour monter en direction du Roc des Evettes et du Col du Drayon. Au col, prendre à droite pour descendre en direction "Le Plan du Drayon". De là, continuer tout droit dans la forêt pour rejoindre "Le Golet". Le retour sur le hameau du Lachat se fait ensuite par le même itinéraire que l’aller.

A SAVOIR:
Depuis le Col du Drayon, possibilité de descendre jusqu'à la route de Plan Désert et de rejoindre à pied par la route les hameaux du Planay et du Mont-Rond (1 km / 15 min). Possibilité ensuite d'utiliser la navette skibus pour rentrer.

Depuis la gare d'arrivée du télésiège du Mont-Rond, longer la piste de ski pour atteindre la crête du Mont-Rond. Cheminer ensuite sur la crête en bord de piste direction le Lac du Guï. Arrivé au carrefour situé au-dessus du Lac, prendre à droite pour descendre par le chemin du Chapet, continuer en direction de l'Arcanière et des Frasses. Retour au hameau du Mont-Rond par le ski-bus depuis l'arrêt La Boulangère (hameau des Frasses).

A SAVOIR :
Prudence à la sortie du télésiège du Mont-Rond, cet itinéraire côtoie le domaine skiable alpin. Attention aux skieurs.

Prévoir l'achat d'un forfait piéton pour la montée en télésiège.
Carte des sentiers raquettes en vente à l'Office de Tourisme à 2,50 €.

Depuis l'arrêt du skibus, prendre à droite la petite route qui dessert les Georgières et Les Coins. A ce hameau, descendre à l'endroit de la première balise raquette. Arrivé à un chalet, prendre à droite et continuer pour traverser sur le petit pont du Nant du Milieu. Monter ensuite en direction des Favrays, traverser la route D218b (prudence). Traverser le hameau des Favrays. Aux Favrays, reprendre le sentier et continuer en direction Cheloup. Traverser de nouveau la route D218b (prudence) et descendre par le chemin des Nantets. Continuer jusqu'au village. Retour par le même itinéraire ou par la navette skibus.

A SAVOIR :
Entre le XIème et le XIIème siècle, les moines bénédictins s'installent dans ces lieux. Ils seront à l'origine des grands défrichements : exploitation du bois de chauffage et de construction, création de prairies. Ce sont ces activités qui ont donné à ce pays sa physionomie d'aujourd'hui. A l'époque, le village porte le nom de Sainte Marie des Déserts. Le nom de Belle Combe, d'usage populaire, sera utilisé officiellement au XVème siècle à la demande des habitants.